S’expatrier c’est se mettre en déséquilibre mental. Jusqu’à il y a un mois, je travaillais dans une société de service, j’avais pris l’habitude de changer tous les 3 à12 mois de client, d’environnement, de collègues. Mais pas de « société mère » et c’est l’aspect que je préférais : être rattachée à une société tout en variant ses missions, accepter les nouveaux challenges. Seulement, je suis une sentimentale, alors tourner la page, c’est un moment un peu difficile pour moi.